Feuille-ton été : LA PERFIDIE DE LA MAUVAISE HERBE 2/4

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« J’adore respirer l’odeur du napalm au matin »

Les herbicides, même à fortes doses, sont donc exigés… Car qu’est-ce qu’un cancer du poumon face à des risques de fracture du fémur ? Et pensons à l’économie circulaire, chère à la Maire : la mauvaise herbe me fait chuter, je la conspue et la livre aux herbicides qui eux-mêmes me tuent, pour finalement revenir à la terre sous forme d’humus, nourrissant en boucle ces mêmes mauvaises herbes responsables de mon dernier souffle…Nous envisageons une meilleure prise en compte des angoisses des piétons en décapitant sur l’heure ces nouvelles sorcières qui dans un sabbat chlorophyllique enroulent leurs perfides tiges autour de nos mollets innocents… Certes certes, pauvreté… Bla bla bla, femmes battues… Gna gna gna, service public en déroute… Tut tut tut, humanité au bord du déraillement climatique… Mais parlons des sujets vrais et sans langue de bois (lui aussi, le bois, plus traître que Judas Tocadance). Où en est-on de la délinquance botanique et des nuisances du végétal urbain ? Chacun chez soi et les vaches seront bien gardées ! Les herbes à la campagne et le béton, en ville ! Est-ce que ça nous viendrait à l’idée de bétonner des terres fertiles par exemple ? Ah ! On nous informe, scoop de dernière minute, que oui… Oups, mais bon. N’empêche.

Pour la suite, actualisez la page du site du toutes les 5 à 10 minutes jusqu’à faire mouche.

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